Assises nationales de lutte contre les dérives sectaires

Le 10/03/2023 - Communiqués de presse

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Annoncées début novembre 2022 par Sonia Backès, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur et des Outre-mer, chargée de la Citoyenneté, pour répondre à la recrudescence du phénomène sectaire en France, les assises nationales de la lutte contre les dérives sectaires des 9 et 10 mars 2023 constituent les premières du genre.

Elles poursuivent les objectifs suivants : redonner une impulsion à la politique publique de lutte contre ce fléau et de construire une feuille de route claire sur les dix prochaines années, avec des actions fortes et concrètes à mener.

 

Ces Assises sont le premier événement politique majeur en matière de lutte contre les dérives sectaires en France depuis 22 ans et l’adoption de la loi ABOUT-PICARD.

Elles constituent un événement d’ampleur car elles rassemblent sur deux jours : l’essentiel des acteurs étatiques engagés dans la lutte contre les dérives sectaires (ministères de l’Intérieur et des Outre-mer, de la Justice, de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, de la Santé et de la Prévention, de l’Économie et des Finances, du Travail, du Plein-emploi et de l’Insertion, de l’Enfance);  la majorité des associations impliquées sur ce sujet et sur celui de l’accompagnement des victimes (Union nationale des Associations de défense des Familles et de l’Individu (UNADFI), Centre contre les manipulations mentales (CCMM), Centre national d’accompagnement familial face à l’emprise sectaire (CAFFES), Groupes d’Études des Mouvements de Pensée en vue de la Protection de l’Individu (GEMPPI), Cercle laïque pour la prévention du sectarisme (CLPS), France Victimes...); ainsi que des victimes, des experts français et européens du sujet de l’emprise, de nombreux parlementaires et élus, des professionnels de santé, les plateformes numériques, des magistrats ou encore des scientifiques.

L’efficacité de la lutte contre les dérives sectaires repose en effet sur la mobilisation et la coordination entre les acteurs de l’État, les collectivités territoriales et la société civile.

Jeudi 9 mars

La première journée de ces assises, conçue comme un espace de dialogue, permettra de nourrir la vision la plus large possible du phénomène sectaire et de poser un diagnostic précis de l’évolution de ce phénomène.

Cette journée, ouverte par Sonia Backès, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur et des Outre-mer, chargée de la Citoyenneté, sera consacrée à des témoignages de victimes et à trois tables rondes sur l’accompagnement des victimes, les marchands de bonheur, de bien-être et de soin et l’hybridation entre thèses complotistes et dérives sectaires.

Cette journée sera également ponctuée par l’intervention de plusieurs ministres, illustrant ainsi le caractère éminemment interministériel de la lutte contre les dérives sectaires.

Vendredi 10 mars

Sept commissions thématiques pour préparer la définition d’une feuille de route comprenant des mesures concrètes.

Annoncées début novembre 2022 par Sonia Backès, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur et des Outre-mer, chargée de la Citoyenneté, pour répondre à la recrudescence du phénomène sectaire en France, les assises nationales de la lutte contre les dérives sectaires des 9 et 10 mars 2023 constituent les premières du genre.

Elles poursuivent les objectifs suivants : redonner une impulsion à la politique publique de lutte contre ce fléau et de construire une feuille de route claire sur les dix prochaines années, avec des actions fortes et concrètes à mener.

 

Ces Assises sont le premier événement politique majeur en matière de lutte contre les dérives sectaires en France depuis 22 ans et l’adoption de la www.legifrance.gouv.fr) dans une nouvelle fenêtre">loi ABOUT-PICARD.

Elles constituent un événement d’ampleur car elles rassemblent sur deux jours : l’essentiel des acteurs étatiques engagés dans la lutte contre les dérives sectaires (www.interieur.gouv.fr)">ministères de l’Intérieur et des Outre-mer, de la www.justice.gouv.fr) dans une nouvelle fenêtre">Justice, de l’www.education.gouv.fr) dans une nouvelle fenêtre">Éducation nationale et de la Jeunesse, de la Santé et de la Prévention, dewww.economie.gouv.fr) dans une nouvelle fenêtre"> l’Économie et des Finances, du Travail, du Plein-emploi et de l’Insertion, de l’Enfance);  la majorité des associations impliquées sur ce sujet et sur celui de l’accompagnement des victimes (Union nationale des Associations de défense des Familles et de l’Individu (www.unadfi.org) dans une nouvelle fenêtre">UNADFI), Centre contre les manipulations mentales (www.ccmm.asso.fr) dans une nouvelle fenêtre">CCMM), Centre national d’accompagnement familial face à l’emprise sectaire (CAFFES), Groupes d’Études des Mouvements de Pensée en vue de la Protection de l’Individu (www.gemppi.org) dans une nouvelle fenêtre">GEMPPI), Cercle laïque pour la prévention du sectarisme (www.unadfi.org) dans une nouvelle fenêtre">CLPS), France Victimes...); ainsi que des victimes, des experts français et européens du sujet de l’emprise, de nombreux parlementaires et élus, des professionnels de santé, les plateformes numériques, des magistrats ou encore des scientifiques.

L’efficacité de la lutte contre les dérives sectaires repose en effet sur la mobilisation et la coordination entre les acteurs de l’État, les collectivités territoriales et la société civile.

Jeudi 9 mars

La première journée de ces assises, conçue comme un espace de dialogue, permettra de nourrir la vision la plus large possible du phénomène sectaire et de poser un diagnostic précis de l’évolution de ce phénomène.

Cette journée, ouverte par Sonia Backès, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur et des Outre-mer, chargée de la Citoyenneté, sera consacrée à des témoignages de victimes et à trois tables rondes sur l’accompagnement des victimes, les marchands de bonheur, de bien-être et de soin et l’hybridation entre thèses complotistes et dérives sectaires.

Cette journée sera également ponctuée par l’intervention de plusieurs ministres, illustrant ainsi le caractère éminemment interministériel de la lutte contre les dérives sectaires.

Vendredi 10 mars

Sept commissions thématiques pour préparer la définition d’une feuille de route comprenant des mesures concrètes.

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